mardi 30 avril, de 12.15 à 16.15. Nouvelle sortie sur la Gère, pour une réconciliation après le capot de mon précédent passage. Trois truites + trois autres dépiquées, une casse au ferrage... et une quinzaine de refus. Jamais vu autant de gobages sur la Gère. Le bonheur existe, je l'ai rencontré à Vienne.
J'ai encore beaucoup de progrès à faire, mais je sens que j'ai beaucoup évolué depuis l'année dernière. J'essaye en particulier de soigner l'approche: j'avance ou je pêche en m'accroupissant (voire juste en courbant l'échine, d'ou un beau mal au dos depuis deux jours!), j'attends pour essayer de repérer les gobages (certainement pas assez longtemps, c'est que je suis toujours impatient d'en découdre!). Je suis heureux de constater cette évolution. C'est le métier qui rentre.
Deux mots sur cette sortie: je suis allé uniquement sur le secteur 2. Je m'étais garé près du petit jardin public et en me préparant je vois un beau gobage sur la fin du secteur, là où j'avais pris ma 2e truite de l'ouverture.
Je l'attaque dès que je suis prêt, mais je rencontre l'une de mes limites techniques, certainement la plus visible: pas moyen d'atteindre la distance suffisante. Je réussis à renoncer sans trop de regrets et je remonte vers l'amont.
Je vois un puis deux gobages dans la fin de courant qui précède ce plat. Je me poste et lance. Au bout de plusieurs passages, refus sur ma A4. Je perds un peu la notion du temps et des lieux, puisque j'ai un peu remonté ce courant, mais d'ici au poste où je me suis finalement installé j'ai bien essuyé une demi-douzaine de refus - sur plusieurs mouches différentes (il faudrait que je regarde mon accroche-mouche).
Vraiment à la fin je me croyais maudit. Et si je n'avais pas acquis une certaine confiance dans mon matériel et mes mouches, je crois que j'aurais pu douter assez rapidement de mon nylon de pointe, notamment. Car c'est quand même formidable que le poisson monte et change finalement d'avis au dernier moment.
Est-ce le dragage qui est forcément la cause ? Peut-être dans la majorité des cas. La mouche doit bien y être pour quelque chose aussi, puisque j'ai pris ces trois truites (une arc de 20 cm -je ne savais pas qu'il y en avait dans la Gère et ça me fait penser de plus en plus que ma premièretruite de la saison sur la Gère était également une arc-, une fario de 22 cm puis une autre de 12 cm) avec la même oreille de lièvre. Laquelle ODL a pris de surcroît une autre truite de plus de 20 en "noyée" (hum, en fait j'avais laissé traîner ma ligne dans l'eau quelques secondes pendant que je changeais un peu de position), qui s'est dépiqué (peut-être en raison de l'absence de ferrage) et elle en a encore attiré une autre sur laquelle j'ai cassé au ferrage. Les deux autres dépiquages (quasi immédiats, juste le temps de sentir une résistance et hop il n'y a plus rien) ont eu lieu sur une peute et sur une araignée Devaux (917 ?).
En fait j'ai dû passer les trois quarts de cette sortie posté (posé, plutôt) au même endroit. Presque de la pêche à la ligne ! Faut dire qu'il y avait des gobages à répétition et que je savais ce secteur poissoneux puisque c'est là que l'année passée j'avais pris ma deuxième truite et un blageon: fin du premier courant en haut du secteur 2.
Tant que je n'avais encore sorti aucun poisson je pensais que tous ces gobages étaient le fait de blageons, mais en fait c'étaient peut-être toutes des truites. Je crois les avoir prises dans le courant principal ou sur la gauche de celui-ci.
Mais c'est à droite qu'il y en a le plus. Un coin vicieux avec des contre-courants et surtout situé au-delà du courant principal donc dragage très rapide. Peut-être qu'une solution pour que la mouche pêche plus longtemps serait de pêcher aval. Je vais essayer la prochaine fois.
Mais quand ? Je bous déjà d'impatience alors que j'entame mon nouveau boulot dans deux jours et que la famille est exigeante...
Juste une mention sur le temps: très couvert la première heure, avec des petites averses légères, puis ça s'est dégagé pour finir sur un beau soleil. Vu les premières éphémères qui volaient.
La saison commence vraiment bien :-))))))
c/PDLC (mouches) : 0,063 (total 0.113/j)
LNK: 0.123 (T: 0236)
Compteur d'heures au bord de l'eau:
12 + 4 = 16 heures
31.3.04
Gère: des gobages, encore des gobages !
29.3.04
Rhône à M-J : 6 ablettes
Frustré de pêche (rien depuis 10 jours et après avoir vu de belles rivières la semaine dernière près d'Autrans) et ne disposant pas de beaucoup de temps, je me suis rabattu sur le parc de Miribel-Jonage. Retour sous le pont pour une pêche pas bien excitante mais intéressante tout de même comme révision technique.
Vu en arrivant une demi-douzaine de gros chevesnes qui gobaient, mais comme toujours inacessibles - et puis avec les courants la mouche draguerait sitôt posée. Et puis, une fois descendu je n'ai plus vu leurs gobages.
En revanche, plein de gobages d'ablettes. J'en ai pris six, entre 10 et 15 cm. Beaucoup de ferrages dans le vide, bien sûr, et des problèmes de vision de ces petites mouches foncées. Mais ça fait plaisir de prendre du poisson même ainsi, après le capot de la dernière fois.
Pas content de mon lancer au début (bas de ligne qui se pose sans énergie), mais ça s'est amélioré par la suite. Essayé de viser plus bas (que la soie se déroule plus bas), avec un peu plus d'énergie.
Bref pas heu-reux, mais bien con-tent tout de même ;-)
Compteur d'heures au bord de l'eau: 9 + 3 = 12 heures
18.3.04
On prend les mêmes... mais on ne recommence pas
La Gère à Vienne, jeudi 18 mars de 12h15 à 15h15. Enthousiasmé par la journée d'hier je me suis précipité de nouveau à Vienne. Rien cette fois-ci.
Je ne dirai pas grand-chose de ces courtes heures décevantes passées entièrement en bas du no-kill. Très frustrant pour le lancer: aucun dégagement, très difficile, j'ai dû laisser quatre mouches dans la végétation, dont une belle émergente de march brown en cdc (la soeur de celle d'hier en marron clair) très vite perdue.
Très peu de gobages, tous trop éloignés pour que je les atteigne.
Repéré une truite dans l'eau claire et tenté pour la première fois en nymphe à vue. Aucune précision - complètement aléatoire. Et même quand par chance je posais au bon endroit ça ne l'intéressait pas ; Mais apparemment rien ne l'intéressait: je ne l'ai vue rien prendre. Resté peut-être une demi-heure dessus. En tous cas ça m'a paru très long.
Un essai au streamer pendant cinq minutes à la fin. Juste assez pour voir que ça ne rimait à rien pour l'instant.
Pas découragé pour autant, mauvaise journée c'est tout, conditions pas top. Pourtant j'avais vu quelques éphémères qui volaient quand je suis arrivé, pas des masses loin de là mais plus qu'hier. Et ça m'a permis de découvrir enfin ce no-kill.
Compteur d'heures au bord de l'eau: 6 + 3 = 9 heures
c/PDLC: 5 mouches + 1 bdl : 0,05 / a
17.3.04
La saison débute bien: 2 truites
La Gère à Vienne, mercredi 17 mars de 11h45 à 17h15. 2 truites: 25 cm et 18 cm, sur une émergente marron foncé en cdc et une A4. L'impression de beaucoup mieux maîtriser mon sujet que l'an dernier. Je ne pouvais imaginer un démarrage plus satisfaisant. Tellement encourageant pour la suite !
Ouverture le mercredi pour moi cette année. D'abord parce que je redoutais la foule du premier samedi et ensuite à cause du mauvais temps du week-end. Là, le temps était très ensoleillé (trop?), l'eau assez claire et les berges pas surpeuplées - enfin, tout juste.
Pas eu le temps de douter: la première truite est sortie au bout d'une heure et demi de pêche seulement, alors que je pêchais mon premier gobage. Lieu: haut du no-kill, pas loin au-dessus de la chute d'eau.
Ce n'était pourtant pas très bien engagé: j'avais repéré ce poisson qui gobait un peu loin (compte tenu surtout du peu de dégagement derrière) et juste après avoir commencé à le pêcher je perds... mon bas de ligne !
Mésaventure peu courante liée certainement à une mauvais collage de ma nouvelle liaison soie/chaussette/bdl sans boucle (adaptant les conseils d'UNR sur le forum gobages qui m'avaient semblé très pertinents). Un seul bdl de rechange sur moi - et encore c'était une chance de l'avoir : le polyleader avec anneau essayé plus tôt que j'avais décidé de ne pas utiliser. Et c'est ça finalement qui a fonctionné, va-comprendre-Charles. A croire que j'avais tout fait pour ne pas être en confiance: j'avais choisi une mouche que je n'avais jamais utilisée, qui venait de Jacky. Et pourtant je ne doutais pas.
Donc je remonte tout ça: une chaussette au bout de la soie, mon bdl auquel j'aujoute une pointe, et enfin ma mouche... Eh bien mon ami poisson était toujours là :-)
Lancer un peu coton, d'autant que le gobage était limite surplombé par des branches. Bah, j'ai appliqué la maxime "qui ne risque rien...". Au pire j'y perdais une mouche, et alors ? Plusieurs lancers je crois. Me souviens pas avoir observé particulièrement le gobage, mais j'ai bien ferré. Assez tranquillement ramené le poisson qui n'a pas vraiment lutté. Le problème fut plutôt de ramener le poisson en restant sur la berge (pêche dans l'eau interdite jusqu'au 30 avril).
Quelle espèce ? Ce poisson était plus argenté que marron/jaune. Pourtant, de jolis points rouges et noirs me font penser que c'était une fario. Faudra que je regarde des photos d'arcs pour savoir.
J'ai peur que cette truite ne survive pas longtemps : elle avait engamé assez profondérent et j'ai eu beau décrocher l'hameçon (sans ardillon) assez doucement en utilisant ma pince elle a beaucoup saigné. Et puis j'ai oublié de me mouiller les mains. Là j'ai honte. Et puis elle est tombée dans le sable en se débattant. Oulàlà, n'est pas no-killeur qui veut :-((( Pourtant, elle avait l'air en forme quand je l'ai relâchée. Mais je n'ai pas trop d'illusions.
Pas beaucoup de gobages mais assez pour entretenir l'espoir. J'ai même réussi à en voir dans un petit courant (type frizzelis, courant à ombres), dans le haut du secteur 2 (juste en-dessous de la queue de pool où j'ai fait ma petite truite de l'an dernier - je voulais y aller mais il y avait là un pêcheur qui n'en bougeait pas et touchait un poisson toutes les 5 mn!). Donc je me suis mis dans le courant en-dessous, avant le petit virage - un vieux pêcheur qui pêchait à la cuillère venait de me dire que le coin était joli et qu'il regrettait de ne pas avoir pris sa canne à mouche. Là j'en ai loupé deux et cassé au ferrage sur le troisième. C'est le noeud rattachant la pointe à la petite boucle qui a cédé. A4 je crois.
Sur le secteur 1 je n'ai vu que deux gobages, l'un dans le courant au-dessus du premier pont et l'autre sur l'autre rive contre une maison. Ils ne se sont pas répétés. J'ai essayé de pêcher l'eau vers les rochers pour la première fois. J'ai fait monter un poisson et ça m'a fait très plaisir même s'il a refusé ma mouche. Il y a donc un petit espoir à pêcher l'eau...
Fin de partie: juste avant de remonter à la voiture, je décide de retenter le coup au début du plat de la fin du secteur 2. J'y avais sans succès pêché deux gobages proches un peu plus tôt avec l'émergente du début de journée. Ca gobe de nouveau, un seul gobage cette fois, alors je monte ma dernière A4. Rien aux premiers passages. Puis je vois la truite monter, elle suit la mouche mais elle refuse. Je relance, sans changer de mouche, et elle prend au deuxième passage. Là encore, engammé assez profond, quoique moins que la précédente et j'ai pu la décrocher sans saignement. Mais pas sûr d'avoir pensé à mouiller ma main :-(
Conclusion: heu-reux.
1. Les deux prises bien sûr, même si ça m'ennuie de voir que cela compte autant pour moi dans l'évaluation de cette journée de pêche
2. Technique: j'ai l'impression de lancer avec beaucoup plus d'aisance. Est-ce la nouvelle soie ? J'ai également l'impression de mieux faire travailler le fouet - peut-être la pratique de l'hiver du lancer plus long en réservoir. De là à dire que je mets ma mouche où je veux et aussi délicatement que je le veux...
3. Matériel: confirmation de la qualité de ma nouvelle soie. Meilleurs repères avec les mouches, en essayant de les adapter aux situations (eau et comportements des poissons).
4. Lecture de l'eau: je commence à comprendre certaines choses. Partant de là, je pêche mieux. La marge de progression est énorme.
Compteur d'heures au bord de l'eau: 6 heures
16.3.04
Déjà quatre fois et demi
Déjà pêché avant l'ouverture...
Avant d'oublier: depuis le début de l'année j'ai tout de même pêché quatre fois:
+ 2 fois en réservoir: les Fontaines (décevant) et Virieu (des regrets). Globalement, pas très marrant par rapport à une rivièere, mais j'imagine que quand on touche du poisson ça devient plus intéressant ;-)
Et puis c'est technique et ça demande un équipement approprié: si le taulier de Virieu ne m'avait pas dit comment pêcher et prêté une soie plongeante, ça n'aurait rien donné. Remarque au passage: cela donnait quand il y avait du vent (face à nous): le taulier nous a signalé -j'étais avec Cédric- que sans vent on ne toucherait rien.
+ 2 fois pour la pratique: une heure à Miribel-Jonage pour m'essayer à la double-traction et tester ma nouvelle soie TT
Une après-midi dans l'un des petits lacs du parc, à la recherche de chevesnes au streamer (suite à un post de Florent H. sur Gobages, où il disait pêcher le chevesne à la nymphe dans les petits lacs). Rien vu.
Et il faudrait ajouter une petite visite à la Gère à Vienne, mais sans canne avant l'ouverture, pour repérer les lieux et voir si les truites étaient là et gobaient (eh oui !). Je suis remonté plus haut que d'habitude, jusqu'aux limites de Vienne, mais presque pas plus haut. Pourtant, ça risque d'être intéressant. Mais pour pouvoir mieux évoluer je vais peut-être attendre qu'il soit possible de marcher dans l'eau (un mois après l'ouverture je crois).
Les acquis de l'an dernier
Je ne suis pas encore un moucheur confirmé. Juste un débutant dégrossi. L'année dernière fut ma première saison complète - et pourtant : saison de sècheresse avec fermeture prématurée un peu partout... N'empêche, je me sens beaucoup plus "maître de mon sujet". Alors un petit bilan à la veille de la reprise
Matériel: cette fois je me sens bien paré.
Fouet : Je me demande toujours si la GL3 n'est pas un peu trop raide pour moi, je ne sais pas, je vais poursuivre les essais. J'ai acheté la Décathlon pour pouvoir mieux sentir la canne, en particulier sur le lancer arrière, avec une soie plus lourde. Et je voulais éviter d'abimer la GL3.
Seule innovation: j'ai marqué la taille près de la poignée pour pouvoir mesurer mes prises. C'est le signe de mon ambition pour l'année !
Moulinet : Je vais voir ce que m'apporte vraiment mon nouveau Rythm. Ca se verra surtout si je réussis à piquer des barbeaux... Mais il reste clair que le moulin est secondaire tant qu'on n'attrape rien :-)
Soie : Là, grosses différences: j'ai démarré l'année 2003 avec la Lazer DT5 achetée en mm temps que la GL3. Puis deux essais ratés avec des soies pas cher eurofly qui ne flottaient pas assez - ou que je n'ai pas su faire flotter mm avec du produit idoine. Je suis ensuite passé à une Ron Thompson WF6 (pour charger plus le fouet, selon les conseils lus sur un site). Soie pas cher recommandée par un magazine. J'en ai été satisfait.
Je vais maintenant pêcher avec une Lee Wulff TT 5/6 (achetée au canada, seulement 45 euros environ). La TT est recommandée par Mel Krieger. J'avais hésité avec une Majestic R2T de JMC.
Mes premiers essais avec la TT sont très concluants, notamment sur les roulés. Cédric m'a dit qu'elle s'abimait rapidement, donc je vais essayer d'en prendre bien soin. J'ai un produit d'entretien que je vais vite utiliser. Et dans les situations scabreuses (risque de taper des murs à Vienne par exemple), je reprendrai la Rom Thomson.
Bref gros progrès de ce côté-là.
Bas de ligne : là, je reste encore dans le doute. Différents essais pas forcément concluants. Je vais essayer de m'en tenir à un bdl recommandé dans pêchemouche, un 3,5 m des Mouches Cévenoles (fin en 15 centièmes). Et si c'est trop long dans certains cas, je vais garder à portée de main la tresse Airflo avec laquelle j'avais débuté la saison l'année passée.
Mouches : Je ne monte toujours pas mes mouches - je vais attendre un an ou deux.
Mais j'ai l'impression d'avoir progressé sur l'utilisation des mouches:
- Araignée grise à corps jaune (ou autre Devaux proche) en cas d'éclosion déphémères.
- Oreille de lièvre si poissons difficiles puisque flottant dans la pellicule. Ou bien cdc, mais je n'ai encore rien pris avec.
- Sedge pour le coup du soir ou tôt le matin (ma pêche miraculeuse" sur le Guiers était avec un sedge plume de cane sur oreille de lièvre, donnée par Philippe).
- Palmer dans les courants. Et je vais essayer le petit streamer.
Mes boites sont je crois bien organisées: une araignées (cases pour les hackles), une sstreamer, une poils de cervidés et sedges, une ODL, CDC et nymphes (avec aussi les chiros).
Technique de pêche : bon, j'en reste à la sèche même si j'ai déjà plus ou moins fait des essais en nymphe, mais si peu concluants que je n'ai pas spécialement envie d'insister.
Et comme j'ai pris un peu de poisson l'année dernière, je me sens plutôt en confiance. Très conscient qu'il y a beaucoup de situations où je ne passe pas, mais je sais maintenant que je peux m'en sortir. Et puis au contact de mes camarades pêcheurs j'ai fait quelques progrès (lancer aval, boucle aval, etc).
Bref, je suis plein d'envie et de confiance: prêt pour l'ouverture. Un poisson accroché suffirait pour que je ne sois pas déçu.
3.3.04
Premières sorties avant l'ouverture
Vraiment pas concluant, mais au moins le mérite de sentir de nouveau l'action du fouet, de tester ma nouvelle soie TT et mes débuts en double traction.
1. Réservoir des Fontaines (38) 1/2 journée
Rien touché dans les canaux, mais quel spectacle de voir ces grosses truites croiser tranquillement !
Sur le petit lac, une truite qui a cassé - en fait casse sur un noeud que je venais de faire...
2. Réservoir de Virieu (01), une demi-journée
Rien fait jusqu'à ce que le tenancier me prète une soie plongeante et me dise quel streamer utiliser. Une belle prise qui a cassé juste avant l'épuisette. J'étais en 14 centièmes.
3. Un petit lac du parc de Mirivbel-jonage, 2h30
Cherchais les chevesnes au stream. Rien fait. Rien vu non plus. Vivement l'ouverture que je retrouve mesrepères sur la Gère !